Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Textes publiés - Page 9

  • Problématiques

    PROBLEMATIQUE

    ET PERSPECTIVES

    DIALECTIQUES

     

    Connaissance avec O'Storpe, seul chevelu.

    Descente vers le port dga.JPG

    ACTIVITES PRO

    2019 CPR à Rennes

    Cours sérieux, super-

    visés hélas par des

    conseillers pédagogiques.

     

    2020 GAMBRIAC

    Grand succès : cours

    de 2h à 90 élèves sur la

    musique : je commence

    par Sylvie Vartan et je

    remonte le temps ;

    2h après, 90 élèves

    écoutent religieusement

    du Bach...

    2019 VARIGNAC

    Inéresse toute une classe à « Horace » de Corneille. Considéré par certains (Pauty !) comme « le meilleur prof de tout l'établissement »...

    ACT. LITTERAIRES

     

    Le chemin des Parfaits, 1e version (avril)

    Le test, 1e version 28 12

    Les quêteurs de beauté,

    sept. 73, 1è version

    Jehan de Tours, 1e version.

    Le ch. des Pfts, 2e v. (03)

    Ventadour, 1e v. (22 05)

    Jehan de Tours, 2e v.

    (amour de tête homosexuel)

    Le bûcher d'Elissa, 12 09 2022, 1e version.

    ETUDE DU MILIEU

     

    Deux filles stagiaires;

    Sentéral et Polissé. Mais

    je suis réservé.

    Je méprise ouvertement mes collègues sans m'en

    rendre compte... Ils me le renvoient...

    Amoureux fou de toute ma classe de 3e A, presque uniquement des

    filles.

     

    PROBLEMATIQUE

    ET PERSPECTIVES

    DIALECTIQUES

     

    NAISSANCE DE

    LILI 24 02

    15 05 2017 13h35/13h45

    Près d'une femme. Trouble agréable et fauchant.

    Ne sais que dire : tout idiot ou convenu à mon goût.

     

    Rêve : lapin mangé

    : victime compissée de filles (en intraveineuses)

    Masochisme – dispersion du moi, vivant dans chaque parcelle de l'ostie.

    ! Avec Marie-José renversée sur les poubelles de Condé

    ! Les poils roux. La goutte d'urine.

    ! Clotilde contre le mur du puits.

    L'instituteur sanguinaire pompe le sang de la carotide. Extases sur le lino du palier.

     

    Mon enfance, c'est surtout Louvetière et St-Lyson. La petite chapelle au grenier, autel, dessins (par moi) du chemin de croix.

    Je bande en lisant les récits d'écorchements assyriens, d'écrasement par éléphant, etc.

    Ecueil : que ça devienne du Michel Leiris.

    Tous ces souvenirs sont banals.

    Ma mère nue et sans poils, immaculée.

    Le père, sexe coincé entre les jambes.

    Quand il... à côté de moi dans le lit à Guimbreville.

    Raconter le voyage ? ---> Echec : voyage en 2016 dans les Pyrénées, le traversin que ma mère veut intercaler entre lui et moi.

    Lourdes. Les vieux. La mère qui clopine. La procession.

    Gavarnie. Volupté du renoncement culpabilisant de ma mère.

    @ J'assume le masochisme-sadisme de chaque membre du couple.

    Complicité moi-mon père : lac de Gaube, rucher de Pasly

  • Aussi banal, aussi original

    -------------

    Carmensac

    La notion de terroir se nourrit au croisement de l'artificiel et du réel. Il y faut, pour le créer, un apport de soi. Je voudrais partager les propos de ces paysans, roulant voiture. Renouer connaissance avec ces gens simples de mon enfance.

     

    Citon

    Cimetière marin d'Ajaccio dga.JPG

     

    Regarde. C'est extraordinaire. Tant de petites aventures. Mes seules petites aventures à moi. Saine aigreur des vents de couchant. Au loin le grondement fiévreux de l'autoroute.

     

    2022 03 04

    Ici trop d'entièreté. C'est effrayant. Tant de pages pour savoir pourquoi j'écris, pourquoi nous écrivons tous. Tant de naïvetés, de fleur de peau. Ce souci comédien de plaire, de considérer toujours l'effet sur le public, Ecrire, ce qui n'est rien, mais jusqu'à penser en fonction en fonction de cela. S'obséder sourdement sur des facteurs de productivité, à l'instar d'un haut-fourneau, fonte grise ou fer pur, pourvu que le laitier s'écoule. Tant de pages ou de kilos par jour, et la certitude d'avoir fait tout ce qu'il faut pour coller ses pages dans un manuel consultable, dans le missel séculaire des textes.

    Rien n'est moins assuré. Sartre voulait très tôt se voir lu dans le Manuel de Lanson, ancêtre du Lagarde et Michard. J'étais rassuré. Plus encore par la vie sans risque, bourgeoise, que j'imaginais : pas même le risque d'une vie bohème. Sartre, par ses moeurs, est resté un bourgeois. Il n'a jamais renié son appartenance à la race d'élité qui se perpétue, vents ou marées, par tous les livres à travers les siècles ; notion de décadence égale ...? Je me relis (à tort) pour vérifier que tout cohère...Bien sûr, nous sommes situés, historiquement. Déjà la multitude de mes interlocuteurs m'effraye. Sartre m'a enseigné à écrire pour tous, aussi bien pour le Vietnamien que pouir le péone.

    Apprenons à chacun, sur la planète, à s'y reconnaître. Pourtant, bienfaiteur de l'humanité, c'est bien dépassé. En quoi le Tintoret, par exemple, l'a-t-il servie ? Que d'inconnus dans le dictionnaire... même parmi ceux qu'on a représentés... Trois quarts d'heure après, je découvre la solution : accepter qu'il n'y en ait jamais. En vérité, c'est là écrire comme à seize ans... "Toujours, creuser, en position douloureuse..." Vanité, enfance. Questionnement sans cesse, sur la vanité de se faire éditer, sur ce fameux approfondissement que l'écriture serait impuissante à réaliser... Sans oublier les relations humaines...

    6 mars 2022, au soir : un adolescent fourbu de rabâchage, traînant déjà 30 ans d'existence, confie aux papiers l'écoute d'une Marche funèbre et triomphale de Berlioz. "Extraordinaire". "Fatigue noble" écrit-il. Pas celle du pue-la-sueur, mais celle de l'amateur, de l'homme qui "étudie ses sensations", qui marcherait "à l'infini à la traîne de [s]es cercueils". Militaire, il "aimait défiler", il ne le fit qu'une fois. Au pas. "J'aime m'agenouiller". Nul tyran n'a songé à faire défiler sur ses genoux. Seul le Christ, et ce qui se targue de divinité. Ces funérailles impliquent une profonde pitié pour lé héros tombé (Siegfried,...) - une grande pitié pour soi-même...

    Mourir en héros... Héros de quoi d'ailleurs... Mourir à la Chateaubriand. Mon siècle, c'est le XIXe. Je serai le Réac Superbe. Je le glorifierai. Ayons le courage d'être facho. Prométhée Enchaîné, sinistre Sirène enclouée, j'avertis ; éloignez-vous de mes parages : je suis privé du droit d'être libre. Soyez-le, du moins. J'expie. J'expie avec douceur des fautes imaginées, qui n'en sont cependant pas moins réelles. Démoniaque, j'aime les robots, d'admire l'uniforme. Ô splendides robots esthètes, ne tuez pas. On ne s'échappe pas. Sic sum, neque aliter. Je crois en l'âme, en Dieu et en l'Eternité personnifiée, vive Péguy (Heureux ceux qui sont morts...)

    7 mars 2022

    Fossés remplis d'eau, d'herbes et de reflets.

    Ligne droite allongée au long des barbelés, au pied des saules.

    S'abstraire des bruits du bitume.

    Retrouver, par-delà les haies d'osier,

    Les prés peignés par les crues.

    A deux pas du tumulte, des hommes qui vont quelque part, se trouve toujours un chemin qui tourne virage dangereux texte garé de travers

    et toujours s'efforcer de penser, d'écrire à tout jamais même en dessous, pour indispensablement d'autres encore - conscience - égale - paralysie - si c'est absent : débride la plaie.

    Plaine de lignes intégrant vignes câbles et clôtures

    Bruit de l'avion recouvrant comme la pelle sur la tombe l'aboi âpre et propriétaire du Chien et par dessus ma tête au-devant de moi le grésillement des 735 KV si je courais très vite il y aurait cet angle nécessaire et calculable où l'arc me frapperait en plein - terrible ignorance - rebrousser chemin - quand je reviens au véhicule hermétique et chauffé, sensation d'un foyer retrouvé.

  • La jeune et le vieux

     

    Claire-Alice et Georges peu à peu inséparables en dépit du Règlement Intérieur. À titre d'avertissement (administratif) pour ce vieux con : visite, ensemble, de 5 domiciles – pourquoi rester ici à présent que votre femme – Myriam, Myriam - vous a quitté (…) - Venez avec moi, Georges, venez tenter votre Avenir, voyez si vous pouvez continuer de vivre – Je ne sais pas, je ne sais pas… Dans le premier appartement vivait une vieille fille usée par le doigt, parcheminée, hâve, fardée, voix de fausset sonnant faux. Elles ont quelque chose à cacher. Cela se voit. Georges, ne jugez pas les femmes.

    Vous habiteriez sous les toits, dans un petit deux pièces rue des Juives – Je vivais heureuse dit la femme, la peinture blanche, c'était moi, les plinthes à l 'adhésif, encore moi, les meubles portugais vernis, la bibliothèque de Ferreira (Eço de Queirós, Castelo Branco)- c'est la circulation, monsieur, qui me gêne, j'y suis presque faite, déjà l'été, j'avais moins de camions, je laissais la fenêtre ouverte » - j'avais aussi fleuri la terrasse sur cour… - Eh bien ? - J'y suis retournée seule, six mois d'impayés, la vieille est virée, vous emménagez quand vous voulez, la propriétaire est venue chez elle, les yeux dans les yeux, son gendre au chômage, sa fille aux études c'est bon a dit la vieille c'est bon, obter o inferno je f… le camp » - Intimação para desocupar – Vous parlez portugais Georges à présent ?

    Il hausse les épaules. La vieille à la rue. Fin de l'ankylose. Chambre entière garnie d'un vieux lit, d'une table et de sa chaise – une coiffeuse à lampes nues, latérales. Et les toilettes au fond. « Je vais vous les montrer – Non merci. » Claire-Alice et Georges Aux Anciens de Valhaubert. « Il ne s'agit pas de spoliation, Georges ; tout juste l'application d'une loi. Tout juste ça. Deux années d'impayés. »

    C'est le premier avertissement.

    Arbre dga.JPGCe que dit Claire-Alice, Georges le croit : elle n'a que 23 ans, ses pommettes hautes et écartées, très blonde. Que pèse en face une vieille Portugaise, 36 rue des Juives ? Dès le lendemain, Claire-Alice dit à Georges : « Vous n'aimez pas les femmes seules... » Il répond indistinctement. Claire-Alice a compris jamais seules et je me comprends. Elle a peur de comprendre. Elle conseille de tenir sa porte bien fermée à clé. Elle hésite entre tu et vous. Georges a reçu l'assurance de bientôt quitter Les Anciens de Valhubert. La lettre est signée Waldfeld, Directeur. Claire-Alice la lui rend à bout de bras. Il la suit aveuglément, il croit tout ce qu'elle dit : « Deuxième avertissement : Chez Léger. » Leurs voix à travers la porte trahissent leur âge : qui est-ce ? nous ns pouvons pas loger une personne de plus. Claire-Alice invente une enquête, un service social. Henriette et Peaul ouvrent la porte en deux fois, d'abord on ferme sec pour débloquer la chaine de sûreté, puis ou rouvre d'un coup, côte à côte dans l'ouverture.

  • Bruxellois et chats blanc

    Les Hackenberg de Bruxelles occupent cette fois la chambre sur cour – ils s'en vont dès le lendemain  - « dégâts des eaux sur la Côte, résidence inhabitable, Hermann nous a téléphoné à minuit quinze » – plaignons leur malheur – au troisième été mon Arielle a perdu son poids : « mais vous avez fondu !» - soixante-trois livres – progrès enfin des conversations : ils n'aiment pas les Hollandais, nos hôtes ; l'épouse belge répète : « Les Koukaas..» (« fromages de vache »). C'est le surpoids d'Arielle qui l'asphyxie, encore pour un an. Tous les matins j'explore la campagne, seul sous le soleil, supportable jusqu'à dix heures, où je reviens m'abriter à l'ombre ou dans la lumière selon la chambre de l'année, repose mon épouse. Même avec vue sur le puits où l'on ne boit pas mais d'où sortent les casiers grinçants de bouteilles bien fraîches.

    Torpeur. Catalepsie. Et moi aussi j'ai refusé le moindre effort. Lequel d'entre eux jadis m'a-t-il rapporté le moindre avantage ? aucun. Que dalle - tous les matins elle sommeille. Après son opération tout comme avant ; trop froid, trop chaud, trop pluvieux. Autorité, persuasion, caresses ? Harcèlement ? Rien n'y fait. Alors, puisque après tout c'est les vacances, et que nous payons notre location, je sors me promener seul, en voiture et à pied, avant le plein midi de l'Hérault. Je fais le tour des églises perchées, cadenassées, désertes. Très vite c'est le plein soleil. Un bas de pente envahi de goudron cuit et de superbes goudronniers torse nu, gorgés de vapeurs sur le gravier puant, cuisant, eux-mêmes juvéniles, torse nu, pompant le carbone à pleins poumons, rigolos mais bonnes bites.

    Montée brute direct en première, virages en épingle. Chaleur suffocante, lacets à voie unique – enfin j'atteins de longs bâtiments propres, ocres et désertés. Je vois de mes yeux ici même, en pleine garrigue, une cloche à bascule suspendue à ras de sol avec le joug de suspension sous sa poulie de métal. Pour peu que j'eusse actionné le palan à travers la grille, tiré sur la corde lovée dans la gorge, une cloche semblable, là-bas, sur la pente symétrique, m'eût répondu. Tout le vallon du Brach se fût précipité, tous auraient su qui j'étais (les goudronniers m'auraient dénoncé) - scandale public, internement d'office. Il se tient donc ici chaque été, sur les deux versants, des pèlerinages, retraites et dévotions, avec scouts, curés, colonies de vacances, odeur des pieds, aménité chrétienne et vulgarité.

    Puis tout retombe en abandon. Il faut absolument, voyez-vous, que ces lieux-là servent à quelque chose, s'utilisent,se réglementent, réfectoires, dortoirs – passée la fête, adieu le saint – qui diable peut prier ici ? - dum a turba corrumpimur. : l'autre désignait le Diable, mais à présent, c'est l'autre qu'on révère – les aboyeurs télévisés prêchant la plus fraternelle promiscuité. A travers les vitres dga.JPG

     

    Aujourd'hui, cerveau qui cuit sous le soleil. Buissons poudreux, un sol montant et rocailleux. Des chats faméliques me suivent en ordre dispersé, dérobés sitôt qu'effleurés. Flairent mes doigts vides puis s'esquivent. Leurs cris me poursuivent. J'ai demandé plus tard le sens de ce manège. « C'est qu'ils crèvent de faim » me dit-on.

  • Boris et sa Zazie

    X

    A peine Marianne et sa tignasse ont-elles tourné le coin du palier que Boris dévisse la minuterie. Panne. « Merde » dit l'enfant. Boris se faufile en chaussons derrière elle dans l'escalier. Juste la lumière du puits de cour. Il dérape sur les marches. La rampe est encaustiquée. Devant lui, Marianne s'arrête dans le noir, relève la tête. Au premier, elle réussit à renclencher la minuterie. Boris la suit toujours. Au rez-de-chaussée, la loge forme l'angle dans la cour. Les vitres laissent tout voir. Boris, dans la cour profonde, se colle contre un mur entre deux poubelles. Comme dans un film. Dans les couples, ce que Boris déteste, c'est le mari : il n'a rien d'intéressant entre les jambes. Tant de femmes raffinées collées à des butors. Le père de Marianne, c'est pareil. Trop grand, trop fort, la voix désagréablement masculine. Ses gestes sont brusques. Il ressemble à une bite. Tous les hommes ressemblent à des bites.

    Balconnet bleu dga.JPG

    La petite fille pleure, à présent. Même si c'est une teigne Boris se sent bouleversé. Tout le monde s'engueule, le père et le concierge se menacent mais c'est Marianne qui se prend une claque. Boris bondit, arrache presque la porte et se mêle au tas. Le beau-père le prend à partie : « Vous laissez traîner vos pattes sur la petite. Vous faites espionner un appartement privé par l'intermédiaire de cet individu. Vous êtes un fouille merde. Je vous en foutrai des cours de maths. » Tout le monde se quitte pleurant, gueulant, Boris s'en remonte chez lui, brouillé avec Grossmann et sans espoir de fillette à venir.

    A ce moment "Ti sento" se déclenche dans la pièce voisine, et cette fois, on danse.

    X

    "Chère, Lioubaïa Tcherkhessova !

    "Je souffre à crever parce que le voisin ou la voisine fait gueuler un tube infect en italien, "Ti sento". C'est pire qu'une rage de dents et je ne peux pas m'en passer. Je ne sais toujours pas si c'est un homme ou une femme qui passe le disque, et qui danse. Ce qui chante, c'est féminin, ça crie toujours les mêmes voyelles avec chambre d'écho, mes cours d'arménien vont bien, je m'embrouille encore dans le tatar. "Ti sento" est le meilleur morceau, les autres braillent le rock à la sauce Eighties', je suis sûr qu'on le fait exprès pour m'emmerder, si tu n'habitais pas à l'autre bout de Paris ce serait toi.

    "D'ailleurs j'y suis allé l'autre jour avec le concierge et son passe-partout. Je n'ai rien fouillé, rien dérangé du tout. D'après le père Grossmann ce serait une sorte de chambre de passe, une fois j'ai surpris des baiseurs à travers le mur mais ce n'était pas toi. Le concierge ment. Il y a là quelqu'un. Qui paye son loyer. Qui n'emmerde que moi. Un jour je le coincerai. Le ou la. Si c'est une femme, ça va chier. Terminé les petites astuces : Marianne c'est ta fille, enfin, celle de ton homme, un vrai, un gros porc - pour l'insolence, la morveuse, impeccable. Elle a craché le morceau.

    C'est vous qui me l'envoyez depuis trois mois pour espionner. Il n'y a rien à espionner. Il n'y a pas de femme ici. Pas d'homme. Pas d'argent. Comme un moine. Et je suis en règle avec les services d'immigraiton si tu tiens à le savoir. Et je suis sûr qu'elle cache autre chose, ta Marianne. Elle me cache ma fille. La vraie. Elle sait quelque chose sur l'appartement d'à côté. Elle a pleuré quand elle a su ma visite avec Grossmann. Elle est allée se répandre comme une poubelle à la loge devant ton mari de mes couilles, qui a failli me taper dessus.Elle raconte que je la tripote