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  • Débile Duflot

        En août 14, cent ans après la guerre mais sans aucun rapport, parut chez Fayard, par Cécile Duflot, De l'intérieur, sous-titré sur la couverture Voyage au pays de la désillusion. Au milieu de l'écroulemenbt général de nos valeurs, tagada blablabla. Au sein du naufrage de la civilisation, ta-tsoin tadah... - il existe, il existera toujours, des personnes qui vont sur le pont et dirigent ou tentent de diriger le navire en se prenant les embruns plein la gueule. Etre sur le pont, c'est aussi, paradoxalement, être "à l'intérieur", de la tempête s'entend, et non pas à l'abri. C'est se situer à l'intérieur de la machine gouvernementale, c'est faire de la politique, s'engager en politique, au milieu des sarcasmes et des crachats mêlés aux embruns, voir plus haut.
        D'ailleurs, Cécile s'appelle Duflot. Rappelons donc, avec l'aide de Wikipédia, qu'elle fut présidente du groupe Europe Écologie Les Verts jusqu'en juin 2012, ministre du logement et de l'égalité des territoires dans les deux gouvernements Ayrault, et qu'elle est aujourd'hui co-présidente du groupe écologiste à l'Assemblée nationale. Elle a donc mis ses mains dans le cambouis. "De l'intérieur" serait aussi une allusion à l'ex-ministre de l'Intérieur Manuel Valls, avec lequel c'est peu dire qu'elle ne s'entendait pas toujours. En particulier vis-à-vis-de certains déclarations plus ou moins explicites concernant les Roms, ou de populations "qui n'ont pas vocation à s'assimiler".
        C'était bien la peine, dit-elle en somme, de changer de gouvernement, s'il fallait se retrouver avec un second Brice Hortefeux. Or le problème avec ce gouvernement (et je me demande s'il n'en est pas de même avec toute forme de gouvernement, voire avec tout type d'action) c'est de s'apercevoir qu'une équipe, un parti (surtout les Verts, EELV) se compose d'une certaine quantité, nous dirions même d'une quantité, d'individus, qui s'allient tantôt avec un tel, tantôt avec tel autre, au gré de fluctuations qui ressemblent souvent à des trahisons, ou à des négligences : on rend des services et l'on n'est pas remercié (pas de renvoi d'ascenseur), des promesses ne sont pas tenues (par inertie, par versatilité), et toujours cette impression d'avancer dans le sable en gravissant la dune du Pyla.

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        Tout cela engendre chez les politiques de grands moments de découragement, et chez les électeurs une désaffection, des simplifications, qui vont du ricanement face à tout ce qui se manigance dans la cuisine, jusqu'au grossier amalgame "tous pourris". Le gouvernement Hollande-Valls, ajoutons Macron pour faire bonne mesure, pour bien remplir la coupe à ras bords, n'est pas un champion de la clarté. Il se proclame de gauche toutes les trois phrases, dit Cécile, mais se voit contraint de mener une politique de droite. Du moins, s'y croit contraint  : l'opinion se droitise, or, nous sommes les représentants de tous les Français, donc nous allons nous droitiser aussi.
        Ce qui est le meilleur moyen de favoriser le Front national, en ayant l'air de courir après. Nous avons déjà dénoncé l'hypocrisie de ceux qui veulent bien des logements pour les Roms, mais pas dans mon HLM, une scolarisation des Roms sauf dans la classe de mon fils, et des emplois pour les Roms excepté dans mon entreprise. Mais Cécile Duflot nous apprend qu'il existe des solutions, des sédentaristions réussies, des assimilations en bonne voie, dont on ne parle pas, à la demande même des intéressés, car ce serait la ruée des journalistes putassiers pour tout de suite pointer les imperfections et titrer en gros sur les échardes subsistantes : car il n'est rien de tel que les amoureux de la perfection pour ressembler comme deux gouttes d'eau à des mouches à merde.
        De même, il n'est pas question d'entendre des propos sur "certaines populations" qui ne "seraient pas assimilables" : lesquelles ? des noms, des noms ! Alors, Philippe Valls, ou un autre, ne le dit pas, le dit autrement, fait des allusions bien claires et bien vaseuses (à la fois, oui, c'est possible), et la gauche perd son identité, sa crédibilité. Gouverner, être au gouvernail, c'est louvoyer sans cesse, ne pas pour autant perdre le cap, soutenir le gouvernement, justement, même s'il a négligé François Bayrou, même s'il a négligé (plus grave) Martine Aubry, grande amie de Cécile Duflot. Depuis, Cécile a publié Le grand virage, car l'eau coule sous les ponts à grande vitesse, les évènements se précipitent, les uns poussent à la roue du catastrophisme pour bien vendre leurs torchons, les autres essayent de freiner le mouvement et se voient accuser de tout minimiser, de tout cacher, pour des motifs obscurs et bien entendu carriéristes et financiers, il faut de plus en plus de sang-froid pour garder son sang-froid.  
        Cécile Duflot, éduquée dans le respect de la démocratie (ses parents l'amenaient assister aux dépouillements lors de tous les votes), ressemble à ces petits hamsters qui tournent et tournent dans leur tambour, mais ces tambours agissent cependant, meuvent des rouages qui à leur tour etc. Ce sont en fait des engrenages, souvent grippés, mais moins dangereux, moins expéditifs que les fausses solutions extrêmes. Toute action amène la critique de ceux qui font le contraire, ou qui font la même chose mais qui le feraient tellement mieux que vous, et surtout les torrents d'invectives de ceux qui ne font rien.

  • Conques-en-Rouergue


                Conques-en-Rouergue est très exactement l'illustration de la prostitution touristique : ses habitants jouissent  en effet d'un bon niveau de vie grâce au prix de leurs restaurants et de leurs glaces, de leur parking extérieur, et de l'abaissement leur patrimoine artistique, souillé par les élucubrations d'un vieillard égrotant, j'ai nommé Pierre Soulages, peintre jadis extraordinaire muté en vitrailleur de palissades ; il a désormais son musée à Rodès, et régnera quelques siècles encore : en effet, les impostures ont la vie dure. Cette carte longiligne fut achetée dans la préfecture de l'Aveyron, d'où il est impossible de faire l'aller-retour en autocar dans la même journée, ce qui contraint soit à l'automobile, soit à la nuit coup-de-bambou à l'hostellerie.
        Voilà qui est vicieux, et marketing en diable.  Notre illustration est de 23 SUR 9 cm. Cette surface est partagée par une diagonale irrégulière, mordant d'1cm 1/2 sur la longueur du haut et d'une distance équivalente sur la larguer de droite, en bas. Les trois flèches de l'abbatiale de Conques (prononcer «Conches ») mordent sur la verdure : les petits arbres clairsemés du versant nord, inhabité, quelque peu pelé, à peu près verdoyant. Ces magnifiques bâtiments sont aux deux tiers de la longueur, un peu plus vers le bas que vers le haut : les règles de la prise de vue sont excellemment appliquées. L'abbatiale, maintes fois décrite, forme un ensemble de pierres blondes et de toits d'ardoise (nef, chœur et transept bien identifiables en perspective cavalière), et Dieu merci n'exhibe aucune des verrières de buanderie dont l'ex-artiste cité plus haut s'est efforcé de la saloper : en effet, les abat-sons ne présentent plus aucun de ces fac-similés de planchers vitreux.
        D'autres maisons, vues par le toit, occupent le coin gauche, cernées ou infiltrées de verdure vive. L'une des façades présente un colombage, un toit pousse son gros gland gris qui vaut bien le gros sexe brun décrit par Miss Deforges,  pignons et gouttières s'encastrant harmonieusement les uns dans les autres, sans pesanteur, avec une parfaite authenticité. Nul Office du Tourisme n'a éprouvé le besoin de les retoucher, de les moderniser – de les « améliorer ». Elles sont très bien au naturel. Tout en bas à gauche, une ingénieuse et brève oblique de petite route d'accès ou de contournement. Nous décelons aussi, au coin supérieur gauche, un triangle de lointaine canopée verte,  progressivement élargi vers la droite, décliné en volants d'éventail ou de coquillage tournant ; le clocher, les deux tours du portail y fichent leurs sobres pyramides. Au pied de ce monument de profonde piété s'étale une officine invisible d'ici, où les souvenirs, babioles d'Eglise et cartes postales, se vendent à des prix parfaitement accessibles aux budgets de Hollande ou d'Anglo-Saxonie. 

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        L'agglomération se poursuit dans un autre triangle de toits, tout aussi typiques, dans le coin droit du bas. Ainsi soit-il.

  • Deux pages de Peace

    Deux pages de Peace

        Nous allons vous proposer un long passage commenté, vers la fin du mouvement, lorsque tout est perdu, mais qu'il faut tenir ne serait-ce que pour le baroud d'honneur, et non pas le "barou", bande d'ignares. Certains passages sont en italiques, peut-être pour indiquer ce que l'on pense, à l'intérieur. Mais vous savez, tout n'est pas justifié. Il faut surprendre le lecteur, le bombarder.
        "Du carrefour de Euston Road et Warren Street. De Grosvenor Streer jusqu'au Centre opérationnel des services secrets, à Ashford, Kent...
        "On avait envoyé Malcolm à Lisburn, Ulster...
        "Au poing à six doigts qui tenait et serrait. Comprimait et écrasait jusqu'à ce que...

     

    CE TABLEAU EST D'ANNE JALEVSKI

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        "Tout soit flou. Tout soit mêlé. Difforme et estompé.
        "Dans les ombres du fond où les vérités et les mensonges, les promesses et les menaces, les voix et les silences, les prières et les malédictions ne faisaient qu'un...
        "A Lisburn, Ulster...
        "De là, tout murmurait. Tout raisonnait. Tout gémissait...
        "Ces voix venues des ombres, ces silences et ces espaces, ces vérités et ces mensonges, leurs promesses et leurs menaces, les prières de Malcolm et ses malédictions...
        "Une muraille assourdissante, assourdissante, de bruits horribles, horribles...
        "Le M15. Le M16. La Special Branch. Le RUC¤ " - ("Royal Ulster Constabulary : police d'Irlande du Nord, essentiellement protestante et unioniste" – il faut nécessairement un lexique, en fin de volume, pour bien nous faire comprendre, à nous autres du Continent, l'arrière-plan spécifiquement britannique d'un tel conflit, l'imbrication des syndicats, groupes représentatifs, références et autres éléments de base, que nous ne pouvons saisir de toute façon qu'en partie : mais visiblement, il y a d'un seul côté toutes les formes de l'idéologie réactionnaire, y compris les pistolets-mitrailleurs eux-mêmes...). L'armée et le SAS – poursuit David Peace.
        "Jusqu'au moment où tout est devenu un long, long, hurlement...
        "Une longue, longue succession d'endroits et de noms, de terreur et de trahison..."
        Ce n'est donc pas du lyrisme à la Zola, mais c'en est tout de même, par accumulation, par distorsion, par mise en œuvre magistrale de la dimension épique, voire cosmique : le combat se poursuit entre anges et démons, jusque dans les nuées, jusque dans les tempêtes crâniennes. Et voici ces noms, comme des champs de bataille meusiens, comme des monuments aux morts – dans la répression des Irlandais cette fois :
        "Derry. Le Bogside. Belfast. Les Lower Falls. Shankill Road. Chichester-Clark. Faulkner. Stormont. Le McGurk's. Le Dimanche sanglant. Widgery. Le Vendredi sanglant. Le gouvernement direct. L'opération Motorman. Sunningdale. L'Ulster Workers' Council. Dublin. Monagham. Guildford. Manchester. Le Miami Showband. Tullyvallen Orange Hall. Whitecross. Kingsmills. Mme Marie Drumm. Le capitaine Robert Nairac. L'Ulster Unionist Action Council. L'hôtel La Mon. L'Irish National Liberation Army..." - tous ces noms éminemment évocateurs pour tout combattant pour le respect des opprimés, en Irlande ou sur le sol anglais. Italiques :
        "Dirigé ou non dirigé, officiel ou non, reconnu ou pas...
        "Sources et services ; agents et informateurs, information et désinformation...
        "Changements de codes. Changements de nombres. Changements de noms. Changements d'endroits.
        "Changements de bandes, mais le boulot restait le même...
        Caractères droits :
        "En Grande-Bretagne ou ailleurs. Près ou loin. En Angleterre ou en Rhodésie. Au Yorkshire ou en Ulster...
        Italiques  :
        "Le boulot restait le même. Toujours le même...
        "Dans les ombrezs. Dans les silences.

        Ici changement de paragraphe, caractères droits :
        "Ce sont les journées les plus dangereuses. Les marchés financiers sont en crise et désorganisés ; les actions ont perdu sept milliards de livres ; les taux d'intérêts de base ont augmenté de douze à quatorze pour cent. Il y a eu des appels à la constitution d'un gouvernent d'union nationale. D'un gouvernement de réconciliation chargé de guérir les plaies de la nation. Echos des journées sombres. Le Premier ministre et son Cabinet ont lancé une offensive à la télévision...

        Italiques :
        TV Eye. Weekend World. This Week. Next Week. A Week in Politics... (toutes ces fameuses tables rondes télévisées pour endormir le peuple)
        Caractères droits :
        "Le message est fort. Le message est clair...
        Italiques :
        "Pas de bla-bla. Pas de pardon. Pas de bla-bla. Pas de pardon.
        Droits :
        "Sans zone d'ombre. Sans ambiguïté. Sans équivoque.
        Italiques :
        "Explicite.
        Droits :
        "Le Juif fixe la télé. Le Juif sourit au visage du Premier ministre. Mais le Juif ne peut se concentrer...

  • Suisse

    Il est de belles cartes postales; Celle-ci est hideuse. Elle mêle dix motifs maladroitement fondus destinés à vanter les charmes du Switzerland (c'est ainsi qu'on l'appelle au verso, en ce langage anglais qui souille tout ce qu'il touche). Le recto représente, de haut en bas et de gauche à droite, sans séparations de mise en page : un chalet, une falaise alpestre, des sonneurs de ces trompes que l'on pose en terre, de lointains sommets baignés de nuages ; une marmotte brandissant un drapeau suisse, deux cabines de téléphérique en pleine vertigineuse ascension, deux saints-nernard.
        La rangée inférieure offre à nos yeux incrédules un paquebot sur le Léman, une vache tachée de roux dont la mamelle gonflée soutient un pétale de Vergiszmeinnicht, dont un autre pétale embroche par superposition l'un de ces petits trains d'altitude, rouge et jaune comme un jouet sous les pentes neigeuses. C'est un bric-à-brac, un panorama dont chaque image parasite et ternit sa voisine. Accumulation indigeste où l'oeil de bonne volonté décèle un certain ordre : une première horizontale coupant le cou de la marmotte et de son pavillon helvète, suivant le haut de l'herbe au pied des trois sonneurs de pipes, lingne aisément prolongeable à droite par une crête de ravin.
      

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     Sous la marmotte une autre horizontale se devine, ondule entre les cornes et sur l'échine de la vache, ne prenant sa netteté qu'au dessus du petit joujou ferroviaire. Verticalement, si l'on y tient, le rebord de cliché du chalet coupe en prolongation le drapeau à croix blanche sur fond rouge, emprunte le cadre d'une fenêtre sur le téléphérique, une crête plongeante et tranche le chanfrein de la vache : cette ligne est créée par l'esprit... De même la queue du bovin, le cul du gros chien dans l'herbe et le milieu du panorama esquissent-ils une  ondulation verticale, permettant à la rigueur de tenir compte, chez le concepteur, d'un sens de la symétrie (3 fois 3 plus 3 fois trois à la verticale) habilement contrarié par le mouvant des lignes et l'intrusion d'un perce-neige entre le pis, la croupe et le train.
        Le tout démoigne hélas de la plus piètre mièvrerie destinée juste à l'émotion des rombières à chachat ou de leur lénifiant mari : c'est confortable, aimable, et bien joli sur les murs du salon - plutôt, de la cuisine : ça plaira à la bonne. Voyons ce chalet, quitte à ne pas achever ce travail : n'est-il pas confortable, à côté de ces branches de conifère enneigé, avec ses deux niveaux de balcons de bois brun, dont l'inférieur se chatouille d'un museau de marmotte hors échelle ? avec son drapeau suisse sur le seuil, par la magie des empiètements d'illustrations ? Comme on doit s'y sentir à l'abri, derrière ses poutrelles de bois et ses paires de rideaux symétriques ?
        Ne dirait-on pas que l'angle droit du balcon surplomne une rude pente à 70 degrés, dont les strates horizontales se voient rayées de vertigineux ravinements où vous glisseriez sans pitié ? "Hauts sont les monts, et profonds les vallons" - mais revenons aux Alpes : elles dressent à l'arrière-plan leurs falaises en rangée de dents plates, avec leurs ressauts d'éboulis, au-dessus de la rive d'un lac qui s'étire entre les jambes des hommes. Rien en effet ne doit manquer à cette évocation globale de tout ce qu'il faut voir (et entendre) dans ce beau pays. Trois bons bourgeois ou éleveurs de Suisse, sous leurs chapeaux et leurs lunettes noires, soufflent à l'unisson dans ces fameux cors helvétiques, si lourds qu'ils reposent sur l'herbe, la bouche triplement ouverte.
        Ils portent veste rouge et pantalon noir, et jouent à même l'herbe, maintenant à mains jointes les immenses tuyaux dorés parallèles, et ce grand motif aurait bien suffi à la carte tout entière : salmigondis pour touristes pressés.

  • Du péché de chair dans la connaissance de Dieu

     

    FICHES

     

    MATZ Pascal, Docteur, né le 23 août 1967, 36 ans. Exerce à 47 Monbahus

    Bêêe.JPGFemme : Karine Bretzenheimer. 3 enfants.

    Divorce aux torts du mari.

    MATZ va au bordel avec Hélène Dubost, rue Huguerie, ancienne boulangère, à présent prostituée. il l'emmène avec lui à Châteauneuf-de-Randon. Hélène connaît la buraliste, ancienne pute, comme elle.

     

    Intermédiaires influenceurs :

    Père Duguay, espion à Châteauneuf-de-Randon, surveille la strip-teaseuse Annemarie Mertzmüller.

    Kader ben Zaf, bar-expositions à La Teste ; sa femme s'appelle Monique et lie amitié avec Hélène Dubost contre son mari qui veut la transformer.

     

    WINTZIG Frank Harold, son demi-frère, FILS DE MEDECIN

    se fait appeler Frank NAU

    Marchand de chaussures. Magasin à Vergt-du-Périgord. Il s'intéresse au tarot. Il épie les femmes à

    Châteauneuf-de-Randon , se déguise en prêtre.

    Maîtresse ANNEMARIE MERTZMÜLLER – strip-teaseuse pieuse – qui connaît très bien HELENE Dubost. La strip-teaseuse est en quelque sorte séquestrée à Chateauneuf-de-Randon par le Père Duguay.

    Elles ignorent, au début, que leurs deux mecs sont des demi-frères.

    (leur grand-mère, tchèque, s'appelle Agata)

     

    B E R N A R D

    C O L L I G N O N

    D U P E C H E D E C H A I R

    D A N S L A C O N N A I S S A N C E

    D E D I E U

    Editions du Tiroir

    2028