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David et le chat sculpté

53 08 20

Couple penché.JPG

Avec David je me promène dans un cul-de-sac de pavillons de banlieue. Une jeune fille très belle (style Mme B.), qui dans le rêve est celle d’Ad., nous invite à dîner chez elle avec son mari. Elle nous apprend qu’il y a aussi une maison plus luxueuse, que j’imagine aussitôt, mais nous laisse entendre que ce sera pour une autre fois, quand nous nous connaîtrons mieux (c’est moi qui ai d’abord proposé la maison luxueuse, puis qui me suis rétracté poliment). David joue dans la terre…

 

53 08 21

Je suis dans un amphithéâtre de bois blanc dominant la nef d’une église. Une immense chorale pourrait y tenir. A la place de l’autel un orgue, petit, mais que je suppose perfectionné, où j’hésite puis renonce à descendre jouer. Des gens surviennent en parlant, ils ne me voient pas, j’arrive à me défiler en redescendant.

 

53 08 22

Coco est morte, dans notre appartement. Pour l’enterrer, nous devons attendre son mari, qui arrive par la cour extérieure et tue un rat à grands coups répétés. Il faut enterrer ce rat dans le même cercueil, or nous nous y étions presque attachés. Sonia se désole, et un peu tous (Annie et moi). Puis le beau-père entre. Nous supposons qu’il a tué le rat…

 

53 08 24

L’empereur de Chine (c’est moi-même, plus jeune <35-40 ans>), et en habits occidentaux ordinaires, m’envoie comme un personnage de conte de fées affronter certains dangers lointains, ou rapporter un objet fabuleux. Il retient ma femme en otage, et l’égorgera si j’échoue. Je suis sur le chemin du retour, plein de joie et de hâte, contournant une prairie marécageuse de plus en plus vaste , figuration élémentaire d’un sexe féminin, mais je gambade de joie. L’empereur me reçoit dans une indifférence maussade. Je n’ai pas dû réussir tant que cela. Il conserve ma femme, mais ne lui fait aucun mal. Je peux la revoir.

 

53 08 29

J’ai recueilli vers Guîtres dans un camion volé, pendant la guerre, un petit garçon. Nous allions vite par les rues inondées, évitant de justesse les cadavres et les vivants qui se relevaient sous nos roues - juste comme le garçon voulait conduire :! « Je n’ai pas de chance », disait-il) et nous parvenions à Bordeaux en bavardant, je reconnaissais St-Michel et la Grosse Cloche, l’un à côté de l’autre. Je relâchais alors mon chat en me demandant parmi les passants ce qu’il allait devenir, mais je le voyais entrer bien gras dans une pâtisserie où il se faisait accepter par d’autres animaux. Le petit garçon me montrait une sculpture de chat, lui aussi en avait un, « Le mien est comme ça » !

C’était un moyen-relief sale et médiéval, quelle aventure.

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