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Moi Je

“Voyez ce que vous pouvez attendre en fonction de ce que vous pouvez donner”.

“Une femme supporte un mari brutal.”. “Accepter sa destinée, car c'est toujours celle qui vous convenait le mieux” - au fond, je n'ai aucune idée de révolte. Mais je voudrais bien ne pas tourner à la passivité. Préjugé : quand on Est, on ne pense plus à rien. Or j'aime la diversité, le tumulte de mes pensées. Ce que je veux ? la Liberté, qu'on me foute la paix.

Servir : ça c'est facile ; renoncer à mon moi, à mes tics...

C'est normal au début. Quand quelqu'un meurt, je crie “Liberté !” même si ça n'a aucun rapport. Je veux ça, et aussi 1) laisser un nom 2) baiser 3) du fric. Comme tout le monde. Mais avant que je renonce, je voudrais un tout petit peu.

Echec professionnel : impensable ; ma profession est de servir, justement.

Mais autre obstacle :

il faut parler à ces femmes avant de les toucher.

Problème des relations humaines

- de la conversation.

Progrès fictivement constatés : - je sais marcher (plier le genou, mes pas moins grands)

j'ai moins peur des élèves

je sais répondre à n'importe qui sur n'importe quoi, reprendre sur le dernier sujet abordé.

A faire : - parler le premier (et pas uniquement avec les yeux)

- pousser la conversation jusque sur le terrain physique

ne pas être frappé d'impuissance ou de brutalité au dernier moment.

Et je peux très bien écrire pour servir.

arrière-pensée : ainsi mon moi sera satisfait par la gloire.

Il faudrait plutôt savoir : par quoi puis-je le mieux servir ?

Ecrire n'est pas si mal.

Vouloir baiser “pour servir” par exemple... Après laisser tomber, mais d'abord...

Ecrire : expression du moi, ex-pression, ensuite, débarras. Ne pas avoir peur – toutes les tendances sadiques, etc : cela me libèrera – mais cela risque d'entraîner d'autres vers les mauvaises voies.

Fric : peut-être ce dont je me passerais le plus aisément (rester du moins dans mes limites actuelles ; mais si je n'avais pas une femme...)

Ma femme est à sa manière l'instrument de la volonté de Dieu. Tout se brouille un peu.

 

Il faut un maître... encore un psychiatre ?

Le problème le plus intéressant pour moi (j'y reviens toujours) : la création littéraire. Chambre d'Ajaccio dga.JPG

Avant baiser. Car c'est ma justification. Mon ego en a besoin.

Il doit s'en purifier, au moins.

Commentaires

  • ----> Je veux ça, et aussi 1) laisser un nom 2) baiser 3) du fric. Comme tout le monde.

    1) Erostrate.
    2) Le sexe fort, c'est celui qui parvient à s'en passer..
    3) Krach, Putsch, Belgium Kaputt !

    Non serviam !

  • Ecoutez un peu cette reprise pour vous changer les idées...
    C'est nerveux comme un asticot et on sent la pyschose derrière les cordes à crin-crin.
    Undead, undead, undead...
    https://www.youtube.com/watch?v=nt6MbNvvmJo

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