Rêveries, pleines d'abour à rat mort
04 06 2019 Rêveries d'avenir
Wi-Fou-Wo, succès.
D'où vient ce goût des femmes mûres ?
J'ai plus (ou autant) besoin de protéger que de l'être.
Amour resté en bouton pour ma mère, ne demandant qu'à s'épanouir pour une autre ?
N.B. Désir plutôt de se blottir, de cunnilingus... ---> Honorer le pénis de la mère, se concilier ses grâces.
Ma mère était mon père, mon père était mon frère.
Désir en tout cas de sécurité : une femme mûre ne m'en fera pas voir comme une jeune fille.
Une délation est à craindre.
Imaginer une conversation entre moi et Bernadette, qui aurait 18-20 ans, seuls, comme j'aimerais, où nous rappellerions ces moments : “Suis-je encore un salaud pour toi (vous) ?”
J'aurais encore du désir pour elle ; mais les scènes érotiques avec la Bernadette de 20 ans seraient imaginées. A la fin, une ellipse comme : “Elle dégrafa son soutien-gorge...”
Rappeler des épisodes par la conversation.
Promenade avec mon père = faire l'amour avec mon père.
Fellation : emmagasiner sa force
m'humilier d'en avoir douté parce que je me sens coupable
- mon “viol” de Claude, de Cyrille.
Me rappeler comme j'étais, pâmé, pensant à cet instituteur-vampire.
Je ne trouvais pas mon père assez sévère, assez puissant, tant ma mère l'avait diminué ; peur de l'orage, des éclairs (il tonne en ce moment, justement).
Le désir que mes parents meurent : commun avec l'humanité...
J'aime me faire peur avec des histoires de mort.
Devenu plus lucide – avec d'autres femmes, je verrai…