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Suite à "Fédora"


R. 86 :
    Nous avons toujours été des admirateurs masochistes. Les autres voulaient nous améliorer, mais pour notre bien ! "Il suffit de vouloir". Cette fière Amazone m'aimait donc ?

R. 87 :
    "Tu ne t'es donc jamais rendu compte que je te draguais ?" Je ne note que ce qui me rassure, je pianote du Claude François, "tougoudoup", présentation.

R. 88 :
Cet homme déclame "tougoudoup, tougoudoup" – cela veut dire attention à la mort derrière-toi, reste méfiant, et garde-toi de vivre." Les âmes ayant tout renié sombrent par la bonde de l'oubli éternel.

R. 89, 90, 91 manquantes.
R. 92 :
    Omer me confie ses textes poétiques.

R. 93 :
    Une vieille est amoureux de lui. Monsieur fait le dédaigneux, comme moi jadis Gare St-Jean. Qui pardonne les humiliations que j'ai fait subir ? Le vieille ivrognesse du palier des Terres Fermes. Omer deviendra adulte et jouera dans le bac à sable.

R. 94 :
    Les Bruxellois repartent sur la Côte. Mes explorations tandis qu'Arielle pionce. Les goudronniers en bas de pente, l'ermitage pour l'instant désert, la cloche sous son épais grillage.

R. 95 :
    Chats faméliques de Grèce, d'Arcueil sous la pluie, de Laroque-lès-Ganges. La Vierge en plein soleil, la boulangère de Sumène, les fêtards en panne d'essence. Exposition de St-Romans.

R. 96 :
    Photo d'Arielle sous les branches. Avec Te-Anaa nous vivrions dans une petite maison aux volets bleus. Ganges, le petit banc près du transformateur, le "magnon", le glas, les glaces.

R. 97 :
    Le vieux couple baba cool poignant ; le barbu saluant tout le monde. Le couple mal assorti dans la barque à Villefranche. Le bouquiniste de Ganges propose une exposition, nous voyons celle du peintre aux écailles de poisson.

R. 98 :
    Je flingue avec désolation le peintre sur son livre d'or. Le peintre de Bergerac qui me traite de connard. Les spectacles qui vous relâchent aussi démunis qu'avant, ma scène après Bakhti sous les murs d'Avignon.

R. 99 :
    "Ce n'est pas mon ami" à un Noir. Lydie recule sur le gand escalier. Fédora s'imagine faire l'homme en la rudoyant sans cesse. Minuscule appartement rue de la Cavalerie. Elimination des animaux, pour que Lydie surtout n'aille ni s'attacher ni se consoler. "Je veux qu'on me soit reconnaissant"...

R. 100 :
    Après un si grand crime, je n'ai plus qu'à disparaître. Tous les inconvénients de la ville, tous les inconvénients de la campagne. A Montpelllier, il y a des hommes. Moi je ne vois que ce qu'on veut faire pour moi. N'ai pas acheté "Le secret de grand-mère".

R. 101 :
    Tombereaux de hargne. "C'est toi la merdeuse". Les enfants "répètent tout comme un perroquet". Dans le Putois j'ai fait connaissance d'une petite fille. Le soutien-gorge sur la tête, le boute-en-train de L'été meurtrier.

R. 102 :
    Nous avions oublié notre appareil et 600€. Arielle est devenue Miss Buchenwald. Piques aigres-douces et baffe dans la rue. Fédora abandonne la danse et ses yaourts, Olegario bouffe la merde de ses gardiens.

R. 103 :
    Olegario a expédié le douanier. Chansons âpres aux thèmes traditionnels. Fais un enfant à la fille de sa maîtresse. "Ce livre et cette photo traînent là, mais ce type ne m'est plus de rien." Lydia et Fédora l'ont tout de même mytifié.
R. 104 :
    Sont allées au Brésil. Mon arrivée à Montpellier, le trimballage de la valise à roulettes. Fédora me raccompagne à l'hôtel et baise avec moi.  « Maman, quand est-ce que je pourrai coucher avec un mec ? » Fédora est « humiliée » par notre saleté chez nous - moi aussi, par la haine qu'elle déverse sur sa petite-fille. Peut-être suis-je resté trop indifférent à la formation de ma fille à moi.

R. 105 :

L'escalier au plastique.JPG


    Fédora n'a pas la moindre notion du massacre qu'elle perpètre. J'éclate hors de propos. J'espère en une résilience de Lydie, je suppose un droit de visite d'Olegario. « Arielle n'est pas une vraie amie, elle interrompt toujours les coups de téléphone ». Je ne pense pas que Lydie se précipite au-devant des caméras comme les Noirs sous l'apartheid.

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